La Grande-Bretagne impose des sanctions aux géants pétroliers russes : un coup dur pour l'économie du Kremlin

13 ÿíâ, 17:00

Le Royaume-Uni a suivi l'exemple des États-Unis et a annoncé l'introduction de sanctions contre deux sociétés énergétiques russes clés - Gazprom Neft et PJSC Surgutneftegaz. Cette décision vise à limiter davantage les revenus que la Russie reçoit des exportations d’énergie et utilise pour financer son agression contre l’Ukraine.

Objectif stratégique des sanctions

Selon le service de presse du gouvernement britannique, ces deux sociétés produisent ensemble plus d'un million de barils de pétrole par jour. Aux prix actuels, cela rapporte à la Russie environ 23 milliards de dollars par an. Ce sont ces revenus que le gouvernement britannique considère comme essentiels pour soutenir la machine militaire russe.

Une décision aux implications mondiales

L’introduction de sanctions vise à réduire la capacité du Kremlin à utiliser les bénéfices des ventes de pétrole pour financer la guerre. Le gouvernement britannique est convaincu que la restriction de l’accès aux marchés internationaux et aux instruments financiers porterait un coup dur à l’économie russe.

La position politique de Londres

Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lemmy, a souligné que les revenus pétroliers constituent une « source essentielle » de financement de l'agression russe. « Nous ne pouvons pas permettre que les revenus énergétiques russes mettent en danger la vie des Ukrainiens et notre sécurité collective », a déclaré le ministre.

Synchronisation avec les alliés

La Grande-Bretagne travaille en étroite coordination avec ses partenaires internationaux, tels que les États-Unis et l’UE, pour accroître la pression des sanctions sur la Russie. Cette décision souligne la détermination commune des puissances occidentales à isoler le Kremlin et à réduire ses capacités financières.

Effet attendu

Les sanctions contre Gazprom Neft et Surgutneftegaz ont non seulement une dimension économique mais aussi politique. La restriction de l’accès des entreprises russes aux marchés internationaux indique la volonté de l’Occident de continuer à exercer une pression sur l’agresseur, créant ainsi des obstacles importants au financement de la campagne militaire russe.

Une nouvelle étape dans la pression des sanctions

Les sanctions britanniques sont une nouvelle preuve que l’Occident s’efforce constamment de limiter les ressources du Kremlin. Cette décision, combinée aux actions américaines, pourrait affaiblir considérablement l’économie russe et forcer Moscou à réévaluer ses actions agressives.


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